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Les entreprises

A la CGSP Télécom-Aviation, nous représentons les membres du personnel de plusieurs entreprises. Entre autres, nous défendons l'intérêt collectif, individuel, la bonne application des législations et le respect des engagements syndicaux.  

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L'opérateur historique de télécommunications en Belgique.

Aujourd'hui, devenu un groupe international qui diversifie ses activités dans les secteurs de la télécommunication, l'intelligence artificiel et la cybersécurité, pour ne citer qu'eux.

L'entreprise se veut innovante et à la pointe des  technologies digitales.

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Le régulateur fédéral pour le marché des communications électroniques, le marché postal, le spectre électromagnétique des radiofréquences ainsi que les services de médias audiovisuels.

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Sa mission, en tant que prestataire de services de navigation aérienne ("ANSP") est d'assurer la sécurité du trafic dans l’espace aérien belge.

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La compagnie aéroportuaire de Bruxelles.

Un peu d'histoire

Les plus curieux d'entre-vous se demandent peut-être : pourquoi ces 3 entreprises et cet organisme d'intérêt public sont sous le giron du secteur Télécom-Aviation de la CGSP ? Pourquoi y a-t-il une entreprise privée, alors que la CGSP représente les travailleurs des services publics ? Pourquoi la télécommunication et l'aviation ?

Cela remonte à une époque encore présente dans la mémoire de certains : les régies. La Régie des Télégraphes et des Téléphones, surnommée la "RTT", et la Régie des voies aériennes, surnommée la "RVA".

Par la volonté de l'Union Européenne sur ses états membres pour leur faire ouvrir le marché de la concurrence dans le secteur postal, le secteur ferroviaire, le secteur aérien et le secteur des télécommunications, mais aussi de séparer le rôle de régulateur (création de l'IBPT) et d'opérateur (Belgacom puis Proximus) et séparer le rôle de contrôle aérien (belgocontrol puis Skeyes) et de gestion aéroportuaire (BIAC puis BAC), la loi du 21 mars 1991 relatives aux entreprises publiques autonomes a permis une autonomie de gestion à ces "organismes d'intérêt public".

Concrètement, cela se traduit par une autonomie de gestion par une Commission Paritaire dans laquelle les textes sont votés (le pouvoir législatif) et un Conseil d'administration où les textes approuvés par la Commission Paritaire sont exécutés (le pouvoir exécutif).

Ce fonctionnement à moitié public et à moitié privé s'observe aussi au niveau du personnel : certains sont nommés à titre définitif, et d'autres sont employés en vertu d'un contrat de travail. 

Pour Proximus et Skeyes, nous sommes toujours dans le cadre de la loi du 21 mars 1991. Pour BAC, elle est passé du statut de société anonyme de droit public au statut de société anonyme de droit privé. La privatisation s'est concrétisée par l'Arrêté royal du 27 mai 2004.

Enfin, pour l'IBPT, elle est restée en tant qu'organisation d'intérêt publique, avec un Comité de Secteur VIII comme organe sectoriel paritaire. 

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